LastWaltz

Comme dit ci-dessus, j'ai envie de parler de Toradora donc...
Comme c'est mon blog, voilà. Si t'es pas content tu fermes la page/l'onglet.

Tout commence comme ont débutés une bonne centaine d'animes: un élève masculin fait sa rentrée, et croise une fille qui ne le laisse pas indifférent. Ici le garçon, c'est Ryuuji, jeune élève aux cheveux bleus et au regard d'assassin... ce qui lui joue parfois des tours.
Toutefois, si la jeune fille (Taiga) ne le laisse pas indifférent, ce n'est pas parce qu'il en tombe amoureux, non. Cette jeune fille l'a juste bousculé dans un couloir, le jour de la rentrée. Les deux personnages finiront donc par faire connaissance (d'une certaine façon), et par devenir complice dans leur mission commune: conquérir le coeur des personnes qu'ils aiment. Pour Ryuuji, ce sera Midori, meilleure amie un peu (beaucoup) loufoque de Taiga. Et pour Taiga, ce sera le meilleur ami de Ryuuji (quel hasard): Kitamura.
C'est ainsi que débute l'histoire, pleine de péripéties, et de surprises.
 

II. Critique:

Non, cet anime n'est pas un shojo à l'eau de rose, mais bien une comédie, où deux adolescents tentent par tous les moyens d'atteindre le coeur de leur amoureux secret, sans pour autant y réussir très facilement... On se moque et on compatit à tour de rôle en observant les tentatives vaines des deux jeunes amoureux. Par la suite, l'anime prend graduellement une autre tournure, plus sentimentale et sérieuse, mais garde tout de même son côté humoristique de base, pour notre plus grand bonheur.

Pour ce qui est des personnages, ils arrivent à être attachants et originaux pour la plupart, et tant mieux.
Ryuuji n'est pas l'idiot maladroit plein de bonnes volontés dont toutes les filles tombent amoureux, mais un élève ordinaire, voir effrayant pour certains. Taiga... est une sorte de garçon manqué d'1m40 au caractère de cochon qui n'hésite pas à se battre s'il le faut, et étrangement, il lui arrive d'être touchante (mais la plupart du temps: effrayante). Midori est, comme dit au dessus, folle. Heureusement, elle ne se cantonnera pas qu'à ce rôle de fille pas nette. Et Kitamura est le garçon (à lunette) que l'on voit dans quasiment tous les animes: l'intello de la classe qui donne toujours de bons conseils. Sauf qu'ici ce dernier a une certaine notoriété auprès des filles, ça change un peu.
S'ajoutera un autre personnage féminin qui jouera le rôle de garce, sans pour autant ne servir qu'à ça.
 

Le chara-design est de bonne qualité: animation plutôt bonne, couleurs vives (ce qui peut en déranger quelques-un, les cheveux bleus ne plaisent pas à tous et c'est normal), et dessins précis, parfois très soignés lors des grandes occasions, ou sous forme de "brouillon" lors des combats, ce qui donne un style d'action rapide au final.
 

L'histoire évolue progressivement, mais sûrement. Les liens entre les personnages se consolident, et l'ambiance évolue progressivement pour devenir plus sérieuse vers la fin, tout en gardant un côté comique tout du long. Grâce à ce côté comique, on s'attache aux personnages, et c'est génial.

Par contre, un conseil... Il est souhaitable d'attendre la fin du générique final avant de fermer la vidéo, sous peine de rater une scène primordiale. Sans ça, on risque de terminer cet anime avec une impression de "c'est vraiment fini là ??".
 

Un léger point négatif toutefois: le changement de caractère de Taiga vers le milieu de l'anime (plutôt une scène qui ne colle pas, en fait). C'est passagé, justifié, mais gênant. Enfin, pour moi... J'ai finalement mis ça sur le dos d'une probable vente de single de Noël.

Au final, un réel coup de coeur: humour et amour se marient très bien dans cet anime. Pourtant, je dois avouer que ça n'a rien d'un chef-d'oeuvre finalement: encore un anime sentimental et humoristique, ce n'est pas ce qui manque (je crois). Toutefois, ici, il y a comme un petit plus qui fait que cet anime est ce qu'il est: une petite merveille.
De l'humour, du romantisme, des dessins soignés, une ambiance bon enfant... Et je suis charmé. Il est évident que les adeptes d'action ou de harem/ecchi ne trouveront rien de bien passionnant dans cet anime.

PS:
Ne surtout pas chercher des illustrations à partir de google image,
sous peine de voir des choses qu'il ne faudrait surtout pas voir !
On appelle plus communément ça du gros spoil...

(si vous souhaitez voir l'anime, évidemment...)

Tous au numérique !


C'est ce qu'ils disaient, les deux machins informes.
 

Depuis que je "capte" la TNT, je découvre 12 nouvelles chaines. Ce qui multiplie par... Beaucoup le nombre de films, séries, documentaires, clips, émissions et j'en passe ! Mais le monde n'est pas parfait. Non. Il y a toujours des obstacles à franchir, de dures épreuves à passer...

Voilà donc ce qui m'arrive. Ci-dessous, un extrait de ce que je peux voir tous les jours.


 

- Oh, Brian, depuis le temps que je t'attends...
- Oh, Brenda ! Si tu savais...
- Qu'y a-t-il Brian ? Ne me dis pas que tu...
- Si. j'ai follement envie de *PAS DE SIGNAL* *PAS DE SIGNAL* ...avec toi.
- Mais, tu es fou ! Aurais-tu oublié *PAS DE SIGNAL* ?
- Je ne l'aime plus depuis *PAS DE SIGNAL* *PAS DE SIGNAL* *PAS DE SIGNAL*
- *PAS DE SIGNAL* ... moins cher !
-  Oui, tu as raison... Probablement... Mais j'ai vraiment envie de *PAS DE SIGNAL* *PAS DE SIGNAL*
- Oh Brian... Ne perdons pas de temps, dans ce cas ! *PAS DE SIGNAL* *PAS DE SIGNAL* toute chaude !
- Avec plaisir Brenda !
- Prend-moi le *PAS DE SIGNAL* *PAS DE SIGNAL*
- Avec ou sans *PAS DE SIGNAL* ?

Donc oui, *PAS DE SIGNAL* est devenu l'ami-boulet qui squatte quand il ne faut pas. Il débarque surtout quand une moto (ou plusieurs...) décide de faire du bruit devant chez moi (c'est génial: on l'entends venir, et... zzzzZZZZ *PAS DE SIGNAL* *PAS DE SIGNAL* ZZZzzzz...) mais aussi quand il fait mauvais temps. Donc, si je rentre le soir sous la tempête, je sais que je raterai ma petite série quotidienne. Série dont je vais parler sans attendre.

Voici...


HERCULE



 

Hercule est une série familiale (datant de 1995) réalisée ni plus ni moins que par Sam Raimi (Spiderman, entre autres).

Cette série véhicule des valeurs sûres: l'amitié, la justice, l'anatomie humaine (parfait pour l'éducation des enfants; sont concernés les mâles et les femelles: voir décoltés de chaque épisodes, que ce soit chez les personnages féminins ou Hercule lui-même), la fidélité envers sa femme (qui l'attend au paradis), et la polygamie. Si, surtout la polygamie. Hercule avait un don: pouvoir caser dans un même épisode "Je reste fidèle à ma femme..." et "Tu peux m'embrasser pour me remercier de t'avoir sauvé la vie. Tient au fait, elle est où ta chambre ?". C'est exagéré... Mais véridique.

Le vrai plus de cette série, c'est... sa simplicité. Après une dure journée, rien de mieux que de tomber sur un épisode à l'histoire basique (gentil, méchant, gentil taper méchant), aux combats faciles à comprendre (avec des coups frôlant toujours l'ennemi d'un bon 50cm, mais ça se voit pas toujours...) et à l'humour ravageur (aujourd'hui j'avoue avoir beaucoup ris... des effets spéciaux).

Enfin bref, c'est Hercule quoi.
Si vous le cherchez, aujourd'hui il est vendeur de TicTac.
 

- Oh, Brian, depuis le temps que je t'attends...
- Oh, Brenda ! Si tu savais...
- Qu'y a-t-il Brian ? Ne me dis pas que tu...
- Si. j'ai follement envie de manger ce gâteau au chocolat avec toi.
- Mais, tu es fou ! Aurais-tu oublié la danette dans le frigo ?
- Je ne l'aime plus depuis qu'ils ont changé la recette... J'ai arrêté.
- Pourtant maintenant, c'est moins cher !
- Oui, tu as raison... Probablement... Mais j'ai vraiment envie de ce gâteau au chocolat.
- Oh Brian... Ne perdons pas de temps, dans ce cas ! Ainsi, ta part sera encore toute chaude !
- Avec plaisir Brenda !
- Prend-moi le couteau à ta droite s'il te plait.
- Avec ou sans chantilly ?

Crépuscule

  Il était une fois, dans un monde bien différent du notre, deux individus que rien, au premier abord, ne destinait à se rencontrer. L'un de ces personnages, une femme, n'apparaissait que la nuit venue. Cette fille, toujours vêtue d'une longue robe sombre comme ses cheveux, se mettait à danser dès le coucher du soleil. Mais cette danse n'était pas ordinaire, non. Il y avait dans les mouvements de la jeune femme quelque chose de magique, qui offrait alors à la nuit l'occasion d'apparaître.

L'on nommait cette femme "La Danseuse de la Nuit".

  L'autre individu était un jeune humain comme les autres, sauf que personne ne semblait le comprendre. On disait de ce dernier qu'il était "dans son monde", et on ne le dérangeait point. Certains villageois avaient tout de même remarqué quelque chose d'étrange: jamais, en la présence de ce garçon, le soleil ne se cachait, même derrière un nuage. Et à chaque couché de soleil, le personnage ne pouvait s'empêcher de fermer les paupières, pour se réveiller qu'aux premiers rayons du soleil.

L'on surnommait ce garçon "Le Fils de la Lumière".

  Le Fils de la Lumière avait pris une habitude depuis plusieurs jours, celle de dormir dans la forêt, à la belle étoile. Cette habitude, il l'avait prise pour regarder danser une jeune fille, vêtue d'un longue robe noire. Une fille qu'il trouvait très jolie.

  Elle l'hypnotisait.

  Malheureusement, de cette danse commençant à la tombée de la nuit, il ne pouvait en voir que le début. Car dès le couché du soleil, ses paupières se fermaient, et il voyait à travers ses yeux presque clos cette fille apparaître de son pas dansant.

  Et le jeune homme, envoûté, voulait à tout prix voir cette fille, quoi qu'il en coûte. Un jour, il trouva enfin le courage de déposer une lettre pour cette déesse de la nuit, juste avant de s'endormir. Il y exprimait tous ses sentiments, et proposait à cette si belle fille de rester au levée du soleil pour lui tenir compagnie. Il déposa alors plein d'espoir cette lettre, et attendit d'entre-apercevoir la danseuse de la nuit, avant de rejoindre sans tarder le monde des rêves.
  A son réveil, il s'empressa de chercher la jeune fille du regard, mais il ne retrouva que sa lettre, à ses pieds. Elle avait été lu, sans aucun doute: la lettre avait été sortie de son enveloppe, et des taches d'eau étaient visibles par-ci par-là. Mais aucun signe de la fille. Et aucune réponse.

  Il ré-écrivit chaque soir. Et il revoyait ces taches d'eau le lendemain, mais jamais la belle jeune fille.

  Il continua, mais ne la vit jamais.

  Au fil des jours, la colère écrasait l'amour, et l'espoir laissait place au désespoir. La haine tuait ses sentiments autrefois si purs. S'il voulait toujours voir cette fille, c'était pour tenter de lui montrer sa rage, ce qu'elle provoquait chez lui désormais. Il en vint à lui vouloir du mal, puis irrémédiablement, il souhaita sa mort. Il restait néanmoins modéré dans ses lettres: rien, ou presque, ne laissait deviner sa haine envers elle, d'après lui.

  Un jour son envie de meurtre le domina. Il déposa une magnifique bouteille en cristal, remplie d'un liquide bleu-nuit au délicieux parfum d'aurore, sans bien sûr préciser que ce liquide était un poison mortel à l'intérieur. "Bois ce délicieux nectar, Belle Fille de la Nuit.", y avait-il écrit sur sa dernière lettre.

  Quand il se leva le lendemain, il retrouva la jeune femme allongée, son visage si pâle à quelques centimètres du sien, et un magnifique sourire ornait ses douces lèvres. Il pouvait enfin la voir. Qu'elle était belle, la Danseuse de la Nuit.

  Des larmes coulèrent alors de ses yeux bleus, reflets de son bonheur, mais aussi de ses regrets.

*
*   *

  La Danseuse de la Nuit ne vivait qu'une fois les ténèbres chassant la lumière sur la terre des humains. Elle n'apparaissait qu'au couché du soleil, pour disparaître ensuite une fois la lumière réapparue. Et dès son arrivée, elle dansait, toute la nuit.

  Elle remarqua un jour qu'un jeune garçon, assez charmant, la regardait chaque soir, juste avant de s'endormir brutalement. Elle pouvait le voir assoupi toute la nuit au même endroit, pendant qu'elle dansait.
  Un jour, ou plus précisément un soir, elle vit une lettre près du jeune homme assoupi. Ce qu'il lui avait rédigé la touchait profondément, mais elle était trop timide pour répondre, et elle était réaliste avant tout. Elle ne pourrait jamais voir ce garçon éveillé, elle le savait. Elle décida donc de ne pas répondre, et c'est ce qu'elle fit chaque fois: elle ne répondit à aucune des lettres, en espérant que cette folle passion quitte le corps du jeune homme.
  Les jours passaient, et la jeune femme était consciente que les sentiments du garçon se modifiaient progressivement. Elle savait qu'il la haïssait de plus en plus... mais elle avait fait un choix. Pour lui, pour elle.

  Et un jour elle découvrit le cadeau.

  Sachant ce qu'il y avait à l'intérieur, elle fit un baiser d'adieu au garçon endormi, but, et mourut lentement, après s'être posée à côté du Fils de la Lumière, qu'elle fixa une dernière fois avant sa mort.

  Depuis ces évènements, plus jamais les ténèbres n'osèrent apparaître en ces lieux.

 

  Cette publicité, vous l'avez sûrement déjà vue: un homme n'utilise plus ses mains mais ses coudes, et pendant quelques secondes, on se demande bien pourquoi ce protagoniste fait tout ceci... Pour faire comprendre le handicap qui touche certaines personnes ? Un gant acheté, l'autre offert ? Traitement anti-verrue super efficace et qui fait pas super mal ?

  Oh là, non, range ton manteau, j'ai pas fini. Assis-toi. Pourquoi se faire vacciner, grand Dieu ? Il existe des gestes simples pour ne pas attraper ce méchant petit virus ! Lavez-vous les mains, voilà tout ! Tu sers la main d'un mec qui tire une tronche de malade ? Lave-toi les mains ! Tu ouvres une porte ? Lave-toi les mains ! Tu t'appuies sur une table par inadvertance ? Lave-toi les mains ! Ça te démange l'entre-jambe ? Lave-toi les...

  Bref.
 

  En se lavant les mains, on tue le virus, et voilà, le monde est beau pour quelques minutes. On peut également éviter de se gratter le nez/les yeux/le cucul juste après avoir serré la main de quiconque aurait une attitude suspecte, également.

  Oui parce que tout le monde ne sait pas comment se propage un virus. Il marche probablement par terre ! Voilà ! Je tousse, et il tombe directement au sol, puisqu'il doit bien peser... 2 ou 3 kg.

  En plus, quelle élégance ! Une bouche ouverte, la langue légèrement en dehors... Une vision divine. Limite excitante.

  Si je poste cet article (qui ne servira à rien, finalement), c'est simplement pour ces personnes qui, vous l'avez compris, m'énervent. Toi, cher camarade cantiniste, merci d'avoir toussé sans retenue vers mon assiette l'année dernière ! Toi, chère vieille dame, merci d'avoir si chaleureusement toussé tout ce que tu pouvais dans ce magasin la fois dernière ! Et toi, futur-malade que je vais croiser dans le bus de ville que je prend plusieurs fois par semaine, merci d'avance pour les deux semaines de cours que je devrais rattraper par ta faute !

  Non mais il faut sûrement faire une licence biologie pour comprendre tout ça. Deuxième hypothèse: c'est des cons, dotés d'un égoïsme sur-dimensionné.

 

  Se faire un cinéma. Inventer "Apouh" et "Mok". Pêcher un plus gros poisson que toi. T'enlacer. Petit déjeuner au lit. Regarder une connerie à la télé. Se moquer des gens. S'occuper des petits, et leur faire des scoubidous. Faire les boutiques. "Mais quelle félinité !". Terminer le Caprice des Dieux en une journée. T'embrasser. Aller au Lazer Game. Photographier. Se balader à la campagne. Faire les animaleries du coin. Acheter trop de plantes. Et François, le guppy qui n'aura pas fait long feu. Rire. Vivre.

  On n'est plus à une année près.

Hold me...


I can't.